Chapitre 0 : Comment se débarrasser des imbéciles ?

Vaste question...

Oui ! Toute la journée, vous êtes agresssés de toutes parts : De l'imbécile incompétent qui, quand il n'est même pas assez malin pour juste vous refiler le boulot, passe son temps à vous envahir de questions vaines et d'hypothèses douteuses ; A l'imbécile-arrête-pas-je-le-défonce-à-coups-de-cric, surement la pire race d'imbécile qu'ait connu l'espèce humaine depuis les chimpanzés et Brigitte Bardot (encore que le doute subsiste concernant les chimpanzés : Certains seraient capable de ne pas bombarder leurs congénères de merde pendant plus d'une heure. Epreuve au-delà des capacités de l'imbécile sus-cité (en 2 mots)) ; En passant par l'imbécile... juste l'imbécile tout court. Celui dont le regard à chacune de vos paroles imite étrangement celui d'une poule devant un fusil à pompe M-45 avec recharge automatique dernier modèle... bref, ce bon regard con de vache normande. Merci PD ! (Je tiens à ouvrir une courte (ou pas) renthèse ici afin de souligner le fait que je parle bien sur de Pierre Desproges. Loin de moi l'idée de lancer ici des injures à caractère homophobe et m'attirer ainsi les foudres de tous les coiffeurs (...et merde !))

Mais, revenons à nos moutons, ou du moins, à nos imbéciles : Après ce rapide tour d'horizon de la triste faune qui nous entoure (mais après tout, les imbéciles ne sont-ils pas des taureaux comme les autres ?) venons-en à la question qui nous préoccupe véritablement : Comment s'en débarasser ?

La première idée qui pourrait nous venir (comme ça...) serait de transporter tout ce beau monde via des A-380 vers des grandes chambres dans lesquelles on diffuserait au choix du propane ou le dernier disque de Lorie jusqu'à ce que mort s'ensuive. Malheureusement... d'une part, les imbéciles sont particulièrement résistants aux disques de Lorie ! (allez savoir pourquoi...) Et deuxièmement, cette idée, bien que paraissant dénuée de faille, a montré ses limites durant la dernière. (Et oui, car il y a toujours un petit malin, (bien souvent un syndicaliste de la CGT d'ailleurs !) pour trouver que : "C'est pas juste que tout le monde n'ai pas un voyage gratos !" et faire capoter tout le projet à cause d'un manque de moyen évident... (en plus, à l'époque c'était des trains. Alors en A-380, tout gros soient-ils, imaginez les frais...)) Et puis, soyons sérieux deux minutes, il ne s'agissait alors que de quelques millions de personnes. Là nous parlons en dizaines, centaines, voire milliers de millions ! Impossible de trouver le budget pour cela, même auprès d'un abruti trois étoiles.

Alors quoi ? Continuer à subir cette tyrannie quotidienne ? Ce "je-ne-sais-quoi' (moi je sais en tout cas !) qui vous fait dire (presque toujours) intérieurement : "Mais quand c'est-y donc qu'il va la boucler sa boîte à merde ?". Et bien pour trouver la solution à cet épineux problème, tournons-nous (enfin façon de parler...) deux minutes vers Dark Jane (chevalier Niv. 80) ou plus exactement son heureuse détentrice : Jeanne d'Arc qui avait eu l'idée, (moins heureuse) peu de temps avant de partir en quête de quelques imbéciles à bouter. (n'importe où, mais en dehors de mon jardin, parce que de toute façon j'ai pas assez de côtes de porc pour tout le monde) Bref, digression mise à part, Jeanne avait demandé à son forgeron personnel, la veille de sa campagne, de marquer son écu (j'ai dit Ecu) au fer rouge (oui, Jeanne d'Arc était elle même un peu conne) : "Me faisez pô chier ! Sinon, tu verrions de quel bois j'me chauffe !". Quelle idée n'avait-elle pas eu ce jour là ! (J'en conviens, ce détail est peu connu. Même des ferrus d'histoire... Mais, qu'est ce que j'y peux moi, si ils ne jouent pas à WoW ?) Le seul compliment que l'on puisse lui faire sur ce qui, avant de devenir son épitaphe, passera longtemps pour un calembourg, c'est qu'il a eu le mérite de nourrir intellectuellement une foultitude (peut être même deux, je distingue mal dans le noir) de non-imbéciles qui, plus tard, en prendrons de la graine pour savoir, je cite : "Quoi qu'on fait face à une pareille bande de cons ?" (Napoléon, (Mage Niv. 76) dépité alors que deux de ses troupes d'infanteries s'entretuent à Waterloo)

Et bien la solution, la voila, qui, chez Napo pris la forme de la résignation : Laissons les imbéciles s'entretuer, loin de nos femmes et de nos enfants... Merci RDLI ! "Mais !", allez vous dire, (si si, je vous vois venir) "Comment tallons nous maintenir cette bande de tarés congénitaux loin de nos filles et de nos troupeaux de brebis qui n'ont pourtant rien fait au bon dieu pour mériter pareille punition ?" et la réponse est simple ! Allez.... faites pas l'imbécile !

La prochaine fois, je vous apprendrais comment conclure quand vous sentez que votre histoire bas de l'aile.