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HaYPe

5 avril 2011

Chapitre 11 : "Pourquoi les imbéciles ont-ils voix au chapitre alors que les muets toujours pas ?"

En préambule de ce post, j'aimerais préciser qu'il s'agit ici d'un coup de gueule. Que non seulement ce ne sera pas drôle pour moi de l'écrire ! Mais surtout, que ce sera encore moins drôle que d'habitude pour vous, de le lire. Vous voila prévenus, passons aux choses sérieuses...

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous faire part de mon moi profond ! J’aurais aussi pu titrer ce chapitre : « Pourquoi les imbéciles ont-ils un permis de conduire alors que les manchots toujours pas ? », mais cela me semblait un peu trop politiquement incorrect.

Voila maintenant plusieurs mois, qui, chemin faisant, se sont transformés en années, que je subis quotidiennement ce que je pourrais qualifier d’IAG. (Incompétence Aigüe Généralisée) Au bureau, dans la rue, dans mes connaissances, cette maladie semble être, devant les tristes records chiffrés du SIDA ou du cancer, le mal inconscient de notre siècle.

Je pointe du doigt, ce faisant, les fumistes ! Ceux qui en dehors de leur incommensurable bêtise, prennent encore le temps de s’en vanter et de narrer à qui veut l’entendre, la « subtile » escroquerie dont ils se sont rendu coupable. Moquant de leurs rires gras, autour d’un dernier verre, (après j’y vais, les gosses m’attendent à la maison et il est déjà minuit…) le chef, le collègue, le client, le passant, « l’autre connard dans la voiture », dont ils estiment s’être joué au détour d’un carrefour ou d’une discussion.

Je mets ici subtile entre des guillemets que j’aurais aimé pouvoir tripler car il est de fait que seule cette catégorie de personne peut avoir le sentiment d’être subtile. Il est d’incroyables abrutis, sentant le glaive de la justice (et croyez bien que je n’utilise ce terme que pour des raisons d’élégance phonétique…) s’abattre sur eux, qui poussent la fourberie jusqu’à peindre le tableau d’une méprise malencontreuse.

J’en connais des connards. J’en connais des qu’on a rarement l’occasion de foutre au piquet, en leur jetant à la gueule et à celle du monde l’étendue de leur ignorance. J’en connais des méprisables, au point que leur seule présence dans une assemblée d’humains (même composée de minorités audibles) peut mettre en défaut le semblant de fraternité anthropologique (je me permets quelques coups de boutoir au Français…) qui régnait jusque là.

Mais le plus triste, c’est de savoir que la haine qui m’anime ce soir ne pourra trouver de répit. Car, où que l’on aille, ils sont toujours là, à guetter aux coins des machines à café. Ils sont toujours là, terrés dans l’ombre de leur ordinateur sur lequel les rediffusions des plus sombres pages de l’Histoire (telles que Top Chef ou Carré VIP) passent en boucle. Ils sont toujours là, à glousser connement sur les petits aléas insignifiants de leur vie merdique ; à montrer du doigt la trop petite, la trop grosse, le trop foncé pour passer le temps entre deux : « Hé ! Hé !Robert ! Tire sur mon doigt ! ». Ils sont toujours là, méprisants leurs congénères dont ils jalousent secrètement – quand la nuit tombe et que ça ne fait plus rire bobonne de tirer sur leur… doigt – la vie qu’ils n’auront jamais. Celle d’un homme qui sait vivre sans trouver comme seul réconfort pathétique à sa triste existence l’emmouscaillement d’autrui.  Ils sont toujours là, mettant toute leur haine vengeresse à la solde d’un seul idéal, d’une seule mission : FAIRE CHIER LE MONDE !

Ainsi, il n’est d’espoir qu’un jour ce fléau cesse. J’en appelle néanmoins à l’industrie pharmaceutique : « A quand le patch non-fumiste à la colchicine ? »

Enfin… voyons les choses du bon côté, au moins on peut se moquer d’eux !

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1 avril 2011

Chapitre 10 : "Pourquoi l'Homme est un Loup pour l'Homme ?"

Alors qu’à l’inverse, on ne dit pas « Le Loup est un Homme pour le Loup »…

J’aimerais, avant d’aller plus loin dans ma démonstration et, avant de présenter les incroyables avancées que cette affirmation nous a permit de faire, revenir sur un détail essentiel de cette maxime d’Hobbes (sans mauvais jeu de mot… … Non, je vous assure, il n’y a aucun jeu de mot !) Il paraîtra évident au premier venu (si c’est un homme) et aux deux premiers venus, (si ce sont des nains ! (On dit souvent : « Un nain vaut mieux que deux Félindras ! », mais, le temps passant j’ai appris à me méfier des Maxime… surtout s’ils sont Romains…)) que cette affirmation est à la fois insensée et paradoxale.

En effet, si le Loup est à l’Homme ce que l’Homme est à la lie, cela nous laisserait sans voix… (et, plus grave, sans rien à piccoler !) Ce qui n’est pas le cas ! (La preuve !) Mais, par-dessus tout, cela impliquerait que Tout est dans Tout, Rien n’est dans Rien et la Concierge est dans l’escalier ! Alors qu’elle est toujours devant sa télé en train de regarder des feuilletons merdiques en baragouinant des mots dont je n’oserais même pas présenter l’écriture phonétique à mes enfants… qui pourtant, parlent très mal Portugais.

Prenons les choses de façon un peu terre-à-terre voulez vous :


Soit a un Homme ;

Soit b un Loup ;

Si : a = b pour tout a(1)

Alors : C’est le bordel !(2)


On pourrait aussi bien dire n’importe quoi, du genre :


- « L’Homme est un Loup pour le Loup ! »

- « Le Loup est un Loup pour l’Homme ! » (absurde)

- « La Coccinelle est un Loup pour le Chimpanzé »


et, soyons sérieux deux minutes, on a rarement vu des chimpanzés détaler devant une meute de coccinelles !! (Bon… sauf quand elles ont vraiment l’air méchantes… Mais, après tout, c’est normal : ça fait peur les coccinelles !)

« Tout cela pour en venir où ? », diriez-vous, si vous étiez plein de bon sens ! (Ce qui, d’office, ne paraît pas être le cas) Je ne vais pas vous conter par le menu (j’adore cette expression ! Malheureusement désuète à l’heure actuelle…)  les raisons qui font que malgré l’absurdité de son affirmation, l’auteur avait tout à fait tort sur certains points ! (En effet, cette phrase est un parfait non-sens…) Malgré tout, essayons de dégager « l’essence » de sa pensée. Ne nous abaissons pas au rang des « journalistes » actuels, qui pensent comprendre les tréfonds de l’âme et les angoisses juvéniles de n’importe quel imbécile qui « s’adresse dans l’poste » - si angoissé par la caméra que ses sous-vêtements ressemblent au Japon le lendemain d’un séisme… (sans parler des possibles risques « nucléaires » pour la population environnante dans les heures qui suivent) et serait prêt à sortir n’importe quel lieu commun pour faire plaisir à ses fans – et qui s’adressent à la population sans prendre en compte l’impact que leur rôle de « star de la télé » (et même pour certains, de provocateur) pourra avoir sur les imbéciles qui l’écoutent.

Mais, à l’instar d’un autre, je m’égare sur les chemins sournois de la haine primaire ! Revenons-en au sujet, qu’essayait de nous dire Hobbes ? 

- Qu’il avait peur des loups ? C’est probable ! Mais c’est seulement parce qu’il n’avait pas lu mon blog. Sinon, il aurait su que les loups sont gentils et aurait surement écrit à la place : « L’Homme est une grand-mère pour l’Homme ». On saisit, à l’aube de cette explication, la terreur qui devait alors l’envahir…

- Qu’il avait des problèmes de vue ? Probablement pas… Mais l’hypothèse n’en reste pas moins intéressante.

- Que l’Homme n’est en réalité qu’un sinistre abruti qui aime à profiter de ses congénères pour leur soutirer, au choix : des services, du pognon, de l’amour, ou des moutons ? Je pense que nous touchons au but. Cela voudrait dire qu’Hobbes avait conscience, tout petit déjà, (c’était il y a 400 ans…) de la bêtise humaine.

Mais alors, on peut se poser une nouvelle question : Si, comme le prétend Hobbes, et comme je l’ai déjà démontré ici même à maintes reprises (et c’est pas fini…) : « L’Homme est un imbécile » ; de deux choses l’une : soit Hobbes est un loup, soit Hobbes est un con ! Et, je vous le demande, que deviendrait-on si l’on se mettait à écouter les cons ?

Il n’en reste pas moins que malgré ses problèmes oculaires et de logique basique, Hobbes avait oublié d’être con…tre la discrimination. Plaçant tous les humains sur un même pied (enfin sur quatre pattes plus exactement) d’égalité en les traitants de loups. On serait bien avisé d’en prendre de la graine et de commencer, dès aujourd’hui, à nous moquer publiquement des Lillois. (c’est vrai quoi, c’est toujours les Belges qui se prennent tout dans la gueule…)

Enfin, pour conforter cette citation et la thèse défendue par cet espace de communication, j’aimerais vous rapporter les propos, similaires, glanés lors d’un spectacle de Marcel Marceau : « »

La prochaine fois, je ne dirais rien…

27 mars 2011

Chapitre 9 : "Pourquoi c'est plus drôle de se moquer des minorités ?" ou "Et l'égalité homme-femme c'est pour demain ?"

Même si la réponse vous paraît peut-être évidente, je vais quand même y répondre parce que… parce que bon ! Pour répondre d'emblée à la deuxième question : "J'ai bien peur que non !!". Malheureusement pour vous (si vous êtes une femme...) et malheureusement pour vous. (si vous êtes un homme)

Prenons une minorité au hasard : Prenons les femmes ! (Prenons les comme exemple je veux dire…) La femme est le meilleur exemple de minorité qui soit. Déjà parce qu’elle représente une minorité majoritaire (ce qui n’est pas peu dire !). « Les abrutis aussi ! », me diriez-vous à raison, « pourquoi pas eux ? ». Tout d’abord parce que j’en ai beaucoup parlé jusque là alors qu’il y a si peu à en dire… D’autre part, parce que, une fois de plus, vous n’avez qu’à écrire un espace de communication vous-même si vous n’êtes pas contents… (ou alors, vous pouvez m’envoyer vos suggestions ! Si elles sont bonnes, je les améliorerais et me les approprieraient sournoisement puis vous ferez arrêter pour plagiat. Sinon… je les publieraient avec vos nom, prénom et adresse afin que des milliers de fans en colère puissent vous envoyer des menaces de morts !! (… puis vous ferez arrêter pour plagiat !)) De troisième part, parce que la Femme, à l’inverse de l’imbécile, est une source d’inspiration inépuisable ! (au moins pour l’une des minorités suscitées…) 

Si la femme a si longtemps joué le rôle de mère, ce n’est pas tant à cause de certains attributs physiques qui semblent lui être exclusifs, que parce qu’elle est celle qui passe ses journées à la maison avec les gosses pendant que vous – pauvre bête de somme – œuvrez jour et nuit au travail. 

Je ne repartirais pas sur ce vieux débat, tout le monde sait qui à raison ! (Dans un prochain chapitre, je vous expliquerez ce qu’est un Troll !) Mais, revenons-en à l’une des questions de départ, au pif : « Pourquoi se moquer des femmes est amusant ? » 

Et bien, cher lecteur (on comprendra ici que par un subtil jeu de la langue française, et toute misogynie mise à part, le « cher lecteur » s’adresse bien entendu également aux lectrices ! (Même si je doute de leur capacité à appréhender ce genre d’humour glacial et sophistiqué, (comme le disait si bien Gotlib) mais plus à l’abhorrer (comme le disait si bien le paysan)), je ne me lancerais pas dans une explication approfondie ici. Premièrement parce que cela a déjà été fait des centaines de fois (et "récupérer le travail des autres c'est pas joli joli !" (dixit PPDA)) et deuxièmement !

Si vous avez les compétences mathématiques, vous trouverez néanmoins une démonstration simplifiée (sous forme d’énigme – très facile rassurez vous)) ci-dessous : 


A & BC

B != D

A & D = ? 


(A : Se moquer de)

(B : Une femme)

(C : Amusant)

(D : Moi)

( ? : A vous de trouver !!)


Mais je m’égare (et pas seulement du Nord…). Pour vous expliquer cela, revenons quelques années en arrière si vous le voulez bien. (Et même dans le cas contraire !)

Il y a quelques années, dans mon jeune âge, j’étais un adolescent studieux et propre sur moi. (Alors qu’aujourd’hui, je suis un !Etudiant, !Studieux et !Propre-sur-moi… (Ce sont des indices pour les personnes (et les femmes (ou les nains) en particulier) qui auraient butées sur l’énigme précédente !) Je découvrais, innocent, les femmes et leur complexité infinie (je dis juste ça pour le public féminin qui aime à croire que « les femmes sont exceptionnellement plus intéressantes que les hommes ». Soyons clairs, les femmes sont simplement des hommes avec plus de poitrine et la pension en cas de divorce… Les différences s’arrêtent là !) En un mot comme en cent, je n’étais qu’un jeune ingénu, fasciné par les êtres du sexe opposé. J’étais pur, dénué de tout vice : Ni drogue, ni alcool… Puis un jour, en pleine nuit, croisant celle qui aurait pu être la femme de ma vie (au moins pendant deux semaines ! Facile…) j’ai connu l’amour !! Le faux… celui qui vous fait lire Quick & Flupke dire : « Zut et Flute ! ». Cette femme m’a brisé le cœur (Pour être plus précis, elle m’a endommagé (de façon irréversible !!!)  la valve mitrale) à l’aide d’un tire d’un tire-bouchon.

 Je crois que c’est cette nuit là que tout a changé pour moi. Cette nuit où elle m’a dit : « T’es gentil, vraiment ! T’as du charme et tout mais… t’es un chat ! Ca ne pourra jamais marcher entre nous ! En tout cas pas selon les lois françaises !) Suite à ce rejet, cet outrage, cette humiliation, que dis-je… Cette péninsule !... J’avais besoin de découvrir de nouvelles choses et quoi de plus adapté que l’alcool pour me faire oublier mes soucis ? Je crois que c’est le soir ou je me suis mis au Gin que ma vie a changé !

La prochaine fois : « Qu’est ce que je pourrais bien vous raconter la prochaine fois ? »

 

PS : Désolé pour les titres à rallonge mais quand je ne sais pas de quoi je vais parler, je préfère voir large !

 

24 mars 2011

Chapitre 8 : "Pourquoi les extrémistes de gauche font-ils de la meilleure musique que les extrémistes de droite ?"

Je tenterais aujourd'hui de répondre à cette question en vous apportant, en plus de la dérision habituelle, un peu de culture ! J'étais tranquille, (j'étais peinard, accoudé...) en pleine glandouille sur mon lieu de travail, j'écoutais alternativement (et en boucle depuis environ 4 heures) Ska-P, Legion 88, Les Coeurs de l'Armée Rouge et Les P'tits Chanteurs à la Croix de Bois (Croix de Fer ! Tout se rejoint...). Non pas que j'ai un goût particulièrement prononcé pour ces groupes mais bon, fallait bien que j'écoute quelque chose ! (Et puis de toute façon sinon, je n'aurais rien à raconter...)

Bref, au milieu d'un morceau de Legion 88... Là, vous vous demandez surement « Mais pourquoi ce nom d'abrutis ? » Et bien, en dehors du fait qu'il s'agisse effectivement d'abrutis, laissez moi vous expliquer (si, si, je vous en prie) à l'aide de mon fidèle ami d'Internet : StasiPedia.comBon, je passerai sur la banalité du terme « Legion »... le « 88 » en revanche est plus intéressant, il est dit :

« Scrimination ! (C'est le titre et un surnom pour L88 dont l'origine m'échappe...)

[…] (Je saute les passages inutiles)

Le « 88 » en revanche est plus intéressant (Je bosse dur, pas vrai ??), on lui trouve plusieurs origines :

- La première est que le 8 représente la 8ème lettre de l'alphabet : H (qui représente une initiale malheureusement encore trop présente dans nos mémoires : Hallemagne nazie) [Alors eux ils mettent : ] Hip hip hip Hourra explique le double emploie de cette consonne. (Mais je pense qu'ils sont partiaux (et nuls en maths...) Vu sur ChimiePedia.com : « La raison de sa double utilisation, bien qu'incertaine, laisse présumer une référence au dihydrogène. » Je vous laisse trancher quant à ces interprétations !)

- La deuxième est que le 8 représente la 8ème lettre de l'alphabet en partant de la fin : S. Sa double utilisation devient alors plus claire : Super Sympa ! (Une fois de plus, méfiez vous des déductions trop rapides...)

- Enfin, si vous divisez 88 par 3, que vous retranchez 2,60, que vous ajoutez la distance Paris-Marseille et que vous multipliez par le nombre de vaches croisées en route vous obtenez l'âge du capitaine : Quel est l'âge du capitaine ? Vous avez 30 minutes ! »

Bon alors je vais arrêter là la citation de ma référence car je soupçonne ce site de ne pas diffuser des informations fiables à 100% et cette histoire de 8ème lettre à l'envers, ça me paraît louche...

Revenons-en donc à nos Teutons : « Pourquoi millepattes vaut mieux qu'une ? » (Mea Culpa, mauvais chapitre...).

Donc, donc... donc, donc, donc, donc... Donc... Donc, Donc Donc...

Dis Donc !... Non... Rien...

Comme je ne vais pas faire ici la présentation de chacun des groupes sus-cités, (et qu'en plus je vous ais filés plein de liens super cool pour vous renseigner tout seul) sachez seulement, pour résumer, que la moitié est composée de vieux alcooliques et l'autre moitié de jeunes drogués. Pour répondre à la question de départ, il nous faut quand même rappeler un point éthylogique (pardon... étymologique) important : « Qu'est ce qu'un communiste ? Qu'est ce qu'un nationaliste ? »

Pour faire simple : Le communiste est quelqu'un qui rêve que le monde soit un grand pré où les gens seraient libres de courir nus sous le regard attendri des mitrailleuses. Alors que le nationaliste est quelqu'un qui rêve que le monde soit un grand pré dans lequel les gens de toutes nationalités (sauf la sienne) pourraient ramasser les crottes de sa meute de bergers << insérez ici la nationalité du maître >> sous le regard affamé de ces derniers.

Jusque là, rien qui puisse expliquer une quelconque facilité pour la musique... Je vous l'accorde. Mais c'est parce que vous êtes impatients ! En réalité, c'est historique. Au Moyen-Age, les communistes et les fascistes partageaient une même passion pour la musique. Néanmoins, les invasions de l'époque se concluant souvent sur :

1) La mort du peuple conquis,

2) Le boutage (dixit JdA) des étrangers hors du pays ;

les occasions de cohabiter avec l'ennemi étaient rares... et les cocos comme les fafas allaient tous danser dans leurs jardins respectifs en se tripotant la choucroute garnie dès qu'un voisin sortait son biniou pour vomir quelques notes sur l'épaule de ses congénères...

Mais, le temps passant et les efforts mis en oeuvre par les humains afin de rendre les guerres plus efficaces et de ne pas perdre de temps à ces futilités (sinon le chef va encore gueuler !) ont mis fin à ces pratiques barbares et, dès le début du XXème siècle, plusieurs pays étaient déjà sous le joug d'un adversaire quelconque, laissant les populations saines et sauves (enfin... une partie quoi... Oh ! Ca va hein ! Orange ne s'est pas faite en un jour !) mais contraintes de partager leurs terres avec l'envahisseur. Dès lors, les fafas faisant feu sur toute personne salissant de ses germes même pas << insérez ici la nationalité du paysan >> la belle pelouse minée de son terrain dans lequel poussait jusque là de beaux choux et de belles saucisses de Frankfurt, les 'fêtes-à-la-maison' se firent moins fréquentes. D'un autre côté, les cocos, toujours accueillants, à poils dans leur jardins enneigés, faisaient fureur. (Enfin... c't'une façon de parler. Vous voyez très bien ce que je veux dire...)

Pour ceux que le cours d'histoire intéresserait plus avant, sachez que la « soi-disant » haine historique et politique entre communistes et fascistes vient en fait de là : En proie à trop d'anxiété, les fascistes eurent tendance à allumer un peu tout ce qui se présentait, y compris le voisin coco avec son saucisson à la main qui passait à l'improviste se taper une choucroute. A la longue, certains pensèrent qu'il s'agissait d'une aversion orientée... Que nenni ! Les fascistes sont juste un peu plus abrutis que les autres et les communistes (soyons sérieux) n'ont jamais fait de politique...

La prochaine fois : « Pourquoi c'est plus drole de se moquer des minorités visibles (ou difficilement visibles, genre... les nains !) ? »

18 mars 2011

Chapitre 7.2 : "Quand on est conte, on est conte !"

Pour ma part, je suis très conte.

Ces petites histoires métaphoriques et leur morale m'ont toujours épaté. Depuis la nuit des temps, l'Homme s'en est toujours servi afin d'instruire sa progéniture sur les dangers de la vie et des chaînes de fast-food. Alors bien sûr, selon les époques, ces fameux contes étaient plus ou moins chiadés. Par exemple j'ai sous les yeux une copie d'un conte datant de 70,000 ans avant notre ère, vous allez voir, c'est un peu simpliste (Bon alors évidemment, je traduis, l'original était "of course" en anglais) :

"Un tout petit garçon, à qui son père disait :

"Reste dans la maison ! Dehors c'est trop risqué",

s'en fut sur les chemins, mais rencontra en route,

Dusicyon australis et finit en casse-croute".

Oui, c'est vrai ! Ces gens là était des barbares, on peut même le dire ici, c'était vraiment des gros ... des gros magnons disons. Il n'en reste pas moins que l'avertissement lancé par cette petite contine était alors clair dans la petite tête pleine de cheveux et de poux de l'enfant. Ce qui, soyons honnête, n'est pas le cas de tous les contes à travers les âges. Le développement des langues et de leurs finnesses a contribué, par les tournures de style et les "licences poétiques", à en compliquer la lecture. Certains écrivains plus récents en ont parfois usé et abusé (non, non, pas des enfants, des tournures de style).

Après avoir longtemps vécu dans la hantise de ne pas comprendre ce qu'untel avait bien pû vouloir dire 600 ans auparavant dans son ouvrage phare "Et mon fût, c'est du tonnelet ?" durant mes cours de Français, (Alors que très probablement, s'il avait eu un blog, personne ne s'y serait intéressé... D'autant plus qu'entre nous, c'était vraiment un livre de bièrde, (et je pèse mes mots pour les éventuels lecteurs en bas-âge que les contes intéressent)). Mais je m'écarte du sujet, je voulais en venir au fait que pour éviter ces malheureuses explications de texte à venir, je vais vous simplifier le travail, futurs étudiants en lettres du net : Je vais donner l'explication de mon propre texte !! (Sympa non ?)

Pour ceux qui l'auraient raté, le texte est à retrouver dans le chapitre 7 et est à lire, de préférence, avant l'explication - sinon vous n'allez rien comprendre...

Alors... que nous apprend ce texte superbe ? Je rappelle à tout hasard que même si je m'en attribue aujourd'hui le mérite, ce texte n'est pas de moi mais de Jean-Pierre. (En même temps, c'est de bonne guerre. D'une part, il est mort, et d'autre part, qui fais l'effort de tenir le blog ?? Hein, bon !)

Ce texte, si j'en reprends l'essentiel (car le détail serait trop long) contient une foultitude d'informations. Tout d'abord, nous savons (et pas seulement de Marseille) que les extra-terrestres (méchants !!) existent (cf. dernière ligne) ! D'autre part, cela confirme que le Dusicyon australis, même si il a changé de nom, (et est prétenduemment une "espèce éteinte") existe toujours dans nos forêts et nous menace à tout moment. Ensuite il nous apprend que les frères Grimm, ces Grimmbéciles, nous ont menti en nous laissant croire que les loups étaient méchants (alors qu'en fait une simple vieille leur fait peur...). Enfin, et c'est le plus important, cela nous permet de vérifier une théorie qui, jusqu'à lors, tenait de la "superstition" (Bien que cette affirmation ait déjà été défendue dans plusieurs de mes posts (et c'est pas fini !!)) : "Les grand-mères sont l'ennemi public n° (1 * nb de grand-mères (ce qui explique leur rétrogadation sur la liste du FBI... juste parce qu'ils faisaient des concours de "J'ai dégusté son foie avec des fèves au beurre, et un excellent Chianti", si ces imbéciles avaient fait des Maths à la place, on en serait pas là...))

Pour terminer cette explication, j'aimerais soulever un point que l'on m'a récemment reproché concernant le post sur les nains (ou 'personne de petite taille' si vous êtes catholique extrémiste ou hypocrite). Je tiens à préciser que je n'ai pas plus d'aversion envers les nains qu'envers les femmes ou les pokémons. Ces trois trois formes d'hominidés, bien que parfois de nature physiquement incohérente (surtout les femmes et les nains), n'en reste pas moins des êtres chers à mon coeur. Sans nains et sans Félindra (tête de tigre) que resterait-il de Fort Boyard, je vous le demande !

La prochaine fois, si la météo est clémente (et le Japon en rémission de catastrophe nucléaire), j'évoquerais les difficultés de communication entre l'Homme et la choucroute garnie.

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15 mars 2011

Chapitre : "Sa Maman Ours !"

Allez ! Pour une fois, et pour fêter le dixième post sur cet "espace de communication", je me permets une petite private joke. Point de blague sur ce post, mais plutôt un hommage :

"Un hommage à ce blog qui, après presque 1 mois d'existence, n'a pas encore réussi à réunir une centaine de visiteurs ! Un hommage au chat qui tient ce blog et qui, jour après jour, malgré ses petites pattes et ses journées prostré devant la télé, tente tant bien que mal de l'entretenir, au péril de sa vie !" (un admirateur)

Soit dit en passant, si jamais vous même, ou l'un de vos proches qui apprécierait (même vaguement) l'humour qui y est diffusé, souhaitait y participer, je vois une brèche s'ouvrir à l'horizon :

"Vous avez un humour de merde, vous savez vaguement dessiner, vous avez (un tout petit peu) de temps à perdre, vous possédez une palette graphique et la renommée internationale ne vous fait pas peur ? So, we want you !!!! Pour une autre partie plus "graphique" de ce blog ! Vous aurez la chance de pouvoir aider votre prochain dans ses conflits quotidiens au travail. (C'est pas beau comme vocation ?)"

Si c'est la cas (ce dont je doute franchement, soyons sérieux...) n'hésitez pas à laisser un commentaire, je vous contacterais pour plus de détails.

En attendant, je remercie les licornes qui se reconnaîtront pour leur soutient psychologique, les coachs qui ne lisent pas pour leur soutient télépathique et tous les autres pour... et tous les autres, parce que si vous êtes en train de lire cela, c'est soit que ça vous amuse, soit que vous êtes tombé là par hasard en faisant une recherche sur google et, croyez moi, le contenu de votre recherche sera bientôt diffusé ici même.

Sur ce, bonne nuit à vous trois !

14 mars 2011

Chapitre 7 : "Que nous cache la CIA et pourquoi c'est toujours des trucs secrets ?"

Si vous vous posez la deuxième question, merci de relire le chapitres 0 et d'ouvrir bien grand tous les orifices de votre cuisinière au gaz de ville avant d'attaquer la suite. (A défaut de cuisinière à gaz, vous pouvez vous procurez l'un des ustensiles présentés par une licorne dans ce commentaire...)

Ca y est ?... Bon, c'est parti alors. Je ne pourrais, pour être parfaitement honnête, (ce qui est rarement mon cas, rassurez-vous) pas répondre complètement à cette question (en particulier la deuxième partie qui me paraît résulter d'un hasard incroyable... Ca y est, vous sentez vos yeux qui se ferment ?) je me contenterais donc, en guise d'explication de vous rapporter ce qu'un ami de la CIA de Montargis m'a récemment raconté :

 

« Il était une fois, dans une lointaine contrée,

sur une large sente, de jolies fleurs bordée,

une terrible femme, si laide en vérité,

qu'on eut dit un monstre, comme dans genre... Alien ou Predator.


[Bon alors là ça rime pas, mais je n'y peux rien, elle ressemblait vraiment à ça !]


Par une journée paisible, avec pour seule musique

les bruits des p'tits oiseaux, des randonneurs perdus,

une fillette toute mignonne et de rouge vétue,

déchira son collant et hurla : « Putain !! » « Crotte de bique ! »


Attirées par son cri et l'aubaine d'un repas,

bien vite, les pires bestioles se dirigèrent par là.

Toute affairée, la pauvre, à son collant en miette,

ne vit pas qu'autour d'elle, la forêt grouillait d'bêtes.


Alors que (Oh mon Dieu) tout (TOUT !!!) semblait perdu,

surgit soudain au loin, une silhouette inconnue.

Tous les monstres alentours, frémirent à sa seule vue,

c'était la vieille dégueu dont j'parlais au début.


Relevant enfin la tête, la fillette toute mignonne,

se demanda : « Bordel ! Mais qui qu'c'est donc cette conne ? ».

quand le soleil enfin, apparut dans le ciel,

la fillette s'aperçut que c'était juste ... une vieille.


L'affreuse femme souriante, s'approcha, clopinante

et fit à la fillette un geste d'amitié.

La fillette put souffler, elle était rassurée

mais lorsqu'elle vit sa tête, elle devint plus méfiante.


La femme était hideuse, presque défigurée,

et tenait à son bras une sorte de panier.

Mais au dernier moment - à deux pas d'la fillette -

un homme sortit du bois et lui péta la tête.


La jeune fille cria, hurla, prise de panique.

Le jeune homme la calma, il fallait qu'il l'apaise...

« Mademoiselle, dit-il, ravalez votre chique !

Pour éviter d'être pris, le mieux est qu'on se taise. »


Complètement hystérique, la fille se débattit :

« Mais ça va pas la tête ! Espèce de ... d'abruti !! »

Le présumé chasseur (en fait un militaire)

lui répondit perplexe : « Mais, c'était une grand-mère... »


Alors que ses neurones faisaient la connexion,

les yeux de la fillette se remplirent d'émotion.

Elle venait d'être sauvée par un charmant jeune homme,

et se dit : « Dès demain, j'achète des collants pomme. »


En regagnant l'orée, triste fin pour le couple,

un martien en vadrouille, les transforma en poulpes. »


Dès bientôt : Une explication de texte et « Que nous apprend ce petit conte bucolique ? »

 

9 mars 2011

Chapitre 6 : "Comment ça marche un nain ?"

Et bien au risque de vous décevoir ou, plus probablement, de vous surprendre, un nain ne marche pas. Le nain bondit, le nain court, (dans tous les sens (et même ceux du terme)) le nain passe, (mais seulement dans les cul-de-sacs) bref, le nain fait plein de choses mais il ne marche pas ! Surtout si vous enlevez les piles...

« Comment se fait-ce ? », direz-vous ? Alors déjà, restez poli je vous prie, c'est pas parce que j'ai dit 'cul-de-sac' plus haut que tout vous est permis ! La réponse, néanmoins, est assez simple et évidente. A l'instar de certains animaux, tel que le chien par exemple, son instinct le pousse à se déplacer de façon incertaine dans les appartements ou dans les champs. Comme pour le chien également, cette habitude millénaire est une relique du temps où il essayait tant bien que mal d'éviter les claques dans la gueule que lui balançaient sporadiquement les humains alentours pour des raisons évidentes de mépris et... de facilité surtout. L'ancienne maxime : « On a toujours besoin d'un plus petit que soi pour lui péter la gueule », a évoluée en même temps que les droits des nains et des chiens, pour celle que nous connaissons aujourd'hui.

En effet, certaines associations telle que la SPA et le FLNJ (Anciennement FLNA (Front de Libération des Nains d'Appartement) qui, sous l'impulsion de Passe-Partout et de Passe-Moi-L'Sel changera de nom. En effet ces derniers revendiquaient le droit pour les nains à courir et à chier dans les champs et à ne pas rester cloîtrés comme des plantes vertes à la con. On leur reconnaîtra sur ce point précis une avance certaine sur la SPA qui continue à enfermer des animaux dans les cages de leurs « Centres » en attendant qu'un parisien veuille bien en prendre un ou deux pour les enfermer dans son propre appartement) ont ces dernières années beaucoup fait pour tenter de redonner à ces êtres vivants leur dignité depuis trop longtemps bafouée par la continuelle tyrannie des hommes et des femmes, et surtout des grand-mères dont on remarquera au passage qu'à défaut de petits-enfants à terroriser, elles possèdent souvent un chien méchant ou des nains de  jardins qu'elles exposent fièrement à l'entrée de leur demeure afin d'avertir l'imprudent égaré, ou le voleur inconscient, de ce qu'il risque en franchissant le petit portail en fer blanc sur lequel est écrit en lettre de sang : « Grand-mère méchante ! » ou plus simplement « Attention ! Grand-mère ! » pour éviter le pléonasme. (La phrase est finie, vous pouvez reprendre votre respiration)

J'en parlais encore l'autre jour avec Simone Nisme, présidente de l'Organisation des Nains d'Aveugle, qui me disait (dans un Français très approximatif) : « C'est gâce à nous que les naveugles y peuv aller faire leur cousse... euh... et le côffeur et même y'en a qui s'en serve pour raller s'achter un chien ! Et même d'ôte pour euh... tu sais euh... » (S. Nisme, ONA) et là vous vous dites : « Oh mon dieu, Simone s'égare faun qu'elle s'arrête ! ». Je dois avouer que même si vous avez quarante ans de retard, vous n'avez pas tout à fait tort.

Mais voilà plusieurs lignes que j'entretiens cette comparaison hasardeuse entre les nains et les chiens. J'entends d'ici venir les contestations et les nains hurler : « Hip, hip, hip, hourra ! » et j'ai envie de dire « Restons calmes ! ». J'avoue avoir sciemment fait ce rapprochement afin de tenter (dans un esprit purement altruiste et généreux) de créer une plus grande cohésion entre tous les peuples non-humains. Néanmoins, là où le chien rapporte le journal, (ou le postier) le nain se barre comme un taré dès qu'on lui file une clé. Je conviens qu'il manque encore au nain quelques milliers d'années d'évolution avant de rejoindre dans les livres de sciences (qui l'ignore encore trop souvent) ses collègues mammifères qualifiés « d'évolués ». Mais, pour terminer cette note, je souhaite lancer un message d'espoir, plus que cela, un appel à l'amitié inter-espèces : « Je fais un rêve ! Je rêve qu'un jour tous les mains pourront se donner la nain. Je rêve qu'un jour le lobby des nains ne dirigera plus la fabrication des téléphones portables. Je rêve qu'un jour on aura besoin d'un plus petit que soit pour taper sur un plus grand. Je rêve d'avoir un jour un nain porte PQ ! Je rêve qu'un jour les nains prennent la place qui leur revient vraiment, celle qu'on est prié de laisser aussi propre en partant... »

La prochaine fois : « Pourquoi j'annonce toujours une question et pourquoi je n'y réponds pas toujours ? »

PS : A tous les clébards qui lisent ce blog quand leur maître à le dos tourné : ne vous réjouissez pas trop vite, vous êtes quand même une bande de cons !
2 mars 2011

Chapitre 5 : "Pourquoi se suicider c'est pas si mal dans le fond ?"

...et pourquoi c'est encore plus facile sur les bords d'une fenêtre cassée ?

Tout d'abord, vous pouvez vous demander pourquoi je n'ai pas gardé le titre que je vous avez promis. (cf. Chapitre 3) Et bien, principalement parce que JE FAIS CE QUE JE VEUX !!! Et ensuite, parce qu'après avoir réfléchi environ... 10 secondes, je me suis rendu compte de la nullité de ma blague et ne la trouvant pas suffisamment dénuée de sens, j'ai préféré en rajouter une petite couche. Enfin, je n'efface jamais ce que j'écris, sinon c'est trop facile.

Mais...... revenons en à vos boutons : Je comprends qu'ils puissent vous pousser à vous poser ce genre de question. Moi-même, jusqu'à soixante ans, je me suis demandé si, finalement, il ne valait pas mieux appuyer une bonne fois pour toute sur le gros bouton que tous les jours sur… breeeffff, désolé ! Je m'égare sur les sentiers inopportuns de l'humour gras et pré-pubère mais sébum, j'arrête !

Je disais donc : le dégout de « vous-même » (dans votre cas) ou de « vous » tout court (dans mon cas) vous a poussé ces derniers temps à vous demander si finalement « la vie, c'est pas plus sympa quand on est mort ? ». Ma première réponse serait : « Bien sûr que non, sinon pourquoi il y aurait autant de vieux ? ». Ma deuxième réponse serait quand à elle plus précise et complètement en contradiction : « Bien sûr que si, sinon pourquoi crois-tu que ta grand-mère, cette connasse de terroriste, prenne un si malin plaisir à t'inviter le week-end quand elle sait que tu es tranquille chez toi, alors qu'elle pourrait t'inviter la semaine, ce qui te permettrait de refuser en invoquant (et en hurlant) : J'ai boulot/école/piscine/faim/sticule (ceci va être le running-gag le plus long et le plus pourri de toute l'histoire de l'humanité, je vous préviens !) ». L'auto-réponse évidente à cette auto-question est la suivante : « Parce que c'est une terroriste ! » (Tous ceux qui ont cru que j'allais dire « Parce qu'elle se fait chier ! » ont perdus. Cette blague a déjà été faite trop de fois...). Ma troisième réponse enfin serait : « Bof ! » mais je ne sais pas trop pourquoi... Surement parce que ta prochaine question pourrait être : « Et tu te crois drôle ? »

Quid alors de cette histoire de piscines, de fenêtres et de bords dans tous les coins ?

Et bien, pour être franc et honnête, je n'en ai pas la moindre idée... Si je devais dire le fond de ma pensée, ce que je ne ferais pas même sous la torture, je (ne) dirais (pas (du coup...)) que c'est surement la faute à un jeu de merde de mots (ou l'inverse) et comme je sens votre déception, je vais vous livrer un court extrait d'un petit livre peu connu dans lequel vous découvrirez que le suicide n'est pas « toujours » la meilleure solution, surtout si vous pouvez suicider quelqu'un d'autre à la place. Dans cet extrait, nous prendrons l'exemple du suicide au travail :

« Ars Moriendi Francum Telecum » ou « Comment bien mourir au boulot » (tiré du « Petit manuel du bien être au boulot » :

Ca y est, la coupe est pleine, vous en avez ras-le-bol, par dessus la casquette, ça vous gonfle, bref « Z'EN AVEZ PLEIN L'CUL !! » pour parler comme Mélenchon (pas les serviettes et les imbéciles... mais certaines ressemblances avec Marchais sont troublantes quand même...)

Votre patron se sert de vous, vos collègues vous humilient parce que vous êtes petit et chauve. (vous n'y mettez pas du votre entre nous...) Votre travail est dégradant, vous en avez marre de répondre au téléphone et de faire le café sous prétexte que vous avez un double doctorat « Physique - Cuisine » ? Et même à la maison, votre chien Fifi vous pisse dessus afin de bien vous faire comprendre qui est le plus fort... Vous avez décidé dans un ultime geste de lucidité/de décence/de fierté/de la main droite/icule (rayez les mentions inutiles) de vous foutre en l'air. Heureusement, le « petit manuel du bien être au boulot » est là pour vous conseiller jusqu'au bout.

Selon le cas, vous pourriez avoir envie, (par vengeance ou par exemple) de mettre votre plan à exécution sur votre lieu de travail afin de bien montrer votre désapprobation catégorique quant aux sobriquets dont vous affublent vos collègues. Réfléchissez, pour eux ce n'est qu'un jeu. Etaler votre cervelle sur leur beau costard neuf de chez Hugo Boss à 1000€ pourrait leur donner une image de vous encore plus dégradante, ne leur faites pas ce plaisir. Si le problème vient aussi de votre chien, un conseil : Commencez par lui arracher les pattes et les oreilles et attendez deux semaines voir si les choses s'arrangent... Sinon, vous pouvez tenter d'appliquer cette méthode sur vos collègues, les résultats sont généralement impressionnant, « ils n'en reviendront pas » et vous non plus probablement.

27 février 2011

Chapitre 4 : "Pourquoi les autres sont tous des cons et pourquoi j'ai toujours mal à la tête ?"

Je vais essayer, je dis bien essayer de prouver qu'il n'y a aucun lien de cause à effet entre ces deux queffirmations ! (questions + affirmations pour les non-entendants) Mais commençons par le début :

Aujourd'hui, une fois de plus, je me suis rendu compte avec regret et une poignée de collègues de "travail". Petite parenthèse, je mets ici entre guillemets le mot travail afin qu'il ne puisse être compris dans son sens premier qui implique un effort physique et/ou intellectuel prolongé et quotidien, qui fait parfois "ouille" dans tous les muscles. (surtout si vous faites un autre métier que le mien) Bref, rassemblons-nous (mais... pas autour de moi bande cons, c't'une image...)

Donc je "bosser", pour utiliser un terme plus récent, plus proche de la réalité et avec plus de fautes, parce qu'il n'y a pas de raison que ce soit toujours les gens cultivés qui aient accès à la culture ; (si peu nombreux soient-ils) qu'il faut comprendre dans le sens : "J'étais sur mon lieu de "travail" (toujours) et j'avais d'étroits rapport avec des insectes du type : 'qui vole' ! Autrement dit, j'en branlais pas une...", si ce n'est que j'écoutais, à reculons d'accord mais j'ecoutais quand même, des flots de conneries se répandrent dans les airs. A l'instar de ce tsunami d'Asie du Sud-Est ayant balayé les terres et rayé de la surface de la terre des dizaines ou des centaines de milliers de pauvres petits Indiens (qui pourtant mourraient tranquillement de faim et n'avaient rien demandé à personne) et un petit pourcentage de riches connards. (alors que les Indiens sont de pauvres cons) Donc, je m'égare une fois de plus, à l'instar de ce tsunami, ce raz-de-marrée d'imbécilités en tous genres a soigneusement nettoyé une partie de mes neurones jusqu'alors épargnés par l'alcool et qui, ce matin encore barbotaient joyeusement dans mon liquide céphalo-rachidien. (je sais bien que c'est pas vrai, mais souvenez vous de ce que disait Jeanne d'Arc !)

Je ne m'étendrais pas sur le contenu de ces conneries car, d'une part, je ne suis pas cruel et que d'autre part, ce serait beaucoup trop compliqué pour vous... Toujours est-il que cela m'a rappelé ces paroles chères à mon coeur : "Quand on est con, on est con !" qui, dans des temps reculés, furent chantées par Brassens qui n'était finalement (mais on l'apprendra trop tard) qu'un vieux con en bois avec une guitare ridée et beaucoup de talent (Si l'on met à part cet accent ridicule de paysan attardé, alors que tout le monde sait que Brassens était Breton (oui, oui, Brassens était un tout p'tit Breton ! J'arrête pas de vous le dire !))

Conclusion : Les gens sont tous des cons ! "Et tes collègues alors ?", allez vous dire ! "Et pourquoi croyez vous que j'utilise le mot 'collègues' ?", vous répondrais-je du tac-o-tac ! Vous êtes vraiment... Qu'est ce que je disais ? (Alors là, je me vois contraint par certaines lois de la langue française (avec un petit 'f' parce que bon...) de mettre un point d'interrogation, mais vous voyez très bien ce que je veux dire !)

Et la raison pour laquelle j'ai mal à la tête c'est que cette bande de ... m'épuise ! J'ai dis que j'allais "essayer" !

La prochaine fois : "Pourquoi millepattes valent mieux qu'une ?"

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